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Mémoire ou pas
11 mai 2014

EXTRAIT /°°°Les aventures de Fanie

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 Il est des hommes qui dégagent une aura mystérieuse, il est très  difficile de leur résister.

 

 Rien ne laissait supposer que ce soir là, une rencontre aller bouleverser ma vie. D’un simple regard cet inconnu marqua ma mémoire, au point de penser à lui, chaque nuit qui suivit.

 

Confortablement installée sur le fauteuil face a lui, je l’observais discrètement. Grand brun, allure décontracté, un visage détendu au sourire carnassier, et des yeux profondément noir, un regard qui me captivait.

 Assit a notre table dans ce club branché des nuits marseillaises, il me jouait le bel indifférent. Daignant  se présenter, il me jetait juste un coup d’œil de politesse de temps en temps, faisant la conversation exclusivement à mon compagnon Artur, et mon ami Luc. Mais il est des regards si révélateurs que même avec la plus grande volonté du monde, on ne parvient à les camoufler. Je voyais bien dans ses yeux qu’il était plus intéressé a me scruté du coin de l’œil, cas écouter ses deux amis  refaire le monde.

M’ennuyant aux milieux des conversations masculines, je décidais de quittais un instant les hommes pour aller rejoindre quelques copines présentes sur la piste de danse.

Je me levais, rajustais ma robe, et avançais en me déhanchant au rythme de la musique. Dans mon dos, je ressentis un regard brûlant scrutait le bas de mes reins avec une insistance si scabreuse,  que ma peau se mit à frémir. Je savais pertinemment que cela n’était pas celui de mon compagnon, qui trop occuper en bavardage ne s’était pas aperçue de mon absence. C’était celui de l’étranger dont j’ignorais toujours le prénom.

Ma perception des pensées masculines, me fit sentir jusque sur la piste de danse, le désir qui consumé cet homme a la vision de mes hanches tournoyantes. Mon intuition féminine ne me trahissait pas, cet homme avait bien l’intention de me séduire, de me capturé voir même me baiser. Par jeu  de séduction, j’accentuais mon déhanchement chaloupé de manière excessive.  Ce qui ne manquait pas de le séduire, et d’éclairer ses yeux sombre d’une lueur coquine.  Dansant dans un rythme langoureux, je me mis volontairement dans son champ de vision. Laissant planer sur mes lèvres un sourire de diablesse, une invitation à me rejoindre a peine dissimulé.

 Son  regard fauve était à présent complètement aimanté sur mon déhanché, je devinais que sa conversation entre homme ne l’intéresser plus. M’adressant un sourire qui en disait long, ses yeux noir campés dans les miens, il se leva et vint me rejoindre sur la piste de danse.

Surprise, je le regardais s’approché de moi.  Qu’avait-il l’intention de faire ? Je l’ignorais. J’essayais en vint de ne laisser rien paraître sur mon visage, mais le trouble y était bien présent. Ce joueur était un chasseur et j’étais sa proie.  A présent il  était la, tout prêt  de moi dansant comme si rien n’était ne me lâchant pas du regard.

Je pue lire sur son visage, son assurance, sa dominance. Pour lui la partie était déjà gagnée, et cela semblé beaucoup l’amuser. Quelques minutes plus tard Artur finit par nous rejoindre. Peut être c’était il aperçue du manège qui se dérouler sous ses yeux, je n’en savais rien, et cela m’était vraiment égal. Depuis plusieurs semaines, notre couple naviguait sur les vagues de la routine platonique, et je m’ennuyais dans notre bulle.

Artur m’attrapa par la taille, m’enlaça quelques secondes marquant ainsi son territoire. Et aussitôt,  l’inconnu nous  tourna le dos pour retourner à notre table.  Je pue ainsi a mon tour satisfaire mes envies coquines, loucher sur son beau petit cul bien musclé, tout en me demandant qui était cet homme qui était en trin de m’ensorceler.

Je ne l’avais jamais croisé auparavant dans ce club, me demandant d’où Artur et Luc le connaissaient ? Des milliers de questions me traversaient l'esprit.

Assoiffée, je partis me rassoir pour prendre un verre, laissant Artur avec mes copines  sur la piste. Luc discutait avec le beau brun dans un dialecte que je ne connaissais pas, et cela le rendait encore plus attirant, plus sexy, plus mystérieux. J’étais sous le charme de leur conversation dont j’ignorais la traduction.

Artur revint à la table avec une nouvelle bouteille de champagne, et nous resservit. J’étais un peu fatigué, je décidais d’aller prendre un peu l’air en dehors du club.

 Quelques minutes plus tard, le grand brun ténébreux était là, planté devant moi. M’attrapant part une main, il m’entraina dans un coin d obscurités un peu plus  éloigné de la porte d’entré. M’immobilisant contre un mur, il me regarda droit dans les yeux. M’attrapa par la taille, se colla a moi, enfouissant son visage dans mon coup, il respira le parfum de ma peau. L’effleura du bout de sa langue, juste se qu’il faut pour en découvrir le goût, et me faire frémir de plaisirs.

 Mon souffle s’accéléra, mon cœur se mit à battre si fort, que mes jambes tremblotaient trahissant l’étourdissement qu’il me procurait. Je sentis grossir fièrement contre mon pubis son membre viril plein de promesses, excitée par ce contact, j’en humidifiais mes dentelles.

Soudain il s’écarta de moi, me regarda à nouveau  droit dans les yeux, et partit  brusquement quittant le club sans un mot, sans me dire qui il était.

J’étais là, planté debout, légèrement étourdis par ce qui venait de ce passé.

-         Quesque tu fais ici? ça fait une heure que je te cherche, se mit à me crier dessus  Artur, complètement agacer.  va chercher tes affaires on s’en va.

-         Ok, du calme oh ! j’arrive.

-         Aller bouge toi, je suis fatiguer.

 

 

L’inconnu m’avait envouté, je ne cessais pas de pensée a lui.  Artur et moi-même prîmes place dans son bolide. Il démarra en trombe, et nous quittâmes le port de la citée phocéenne en direction de notre domicile. Et oui ! J’avais finis par accepter de vivre avec lui, une vraie vie de couple, comme il se plaisait à me le rappeler trop souvent  a mon gout.

-          Tu as passé une bonne soirée princesse ?

-          Oui excellente, tu sais quoi, j’ai envie que tu me fasses jouir.

-          Quoi ?

-          Oui maintenant, fais moi jouir mon étalon. Lui dis-je écartant mes cuisses tout en  installant mes pieds  déchaussés sur le tableau de bord de sa Porsche.

Surpris de mon audace,  il s’exécuta afin de satisfaire ma demande. Mon amoureux, se valentin que j’avais éduqué a tout mes vices, ne me refusait jamais aucuns plaisirs.  Il passa alors délicatement sa main droite entre mes cuisses et, écarta mes dentelles  pour introduire  un doigt, puis un deuxième dans ma fente chaude et humide. J’en ressentis immédiatement un bien être, comme s’il venait de calmer un manque.

 Détendue, je fermais alors les yeux, afin de me laisser  partir dans un fantasme enivrant. Ce qui m’arrivait a ce moment là dans mon esprit, était plus fort que ma raison. J’imaginais à l’insu de mon amant, l’étranger du club a genoux devant mon entre cuisse, sa tête brune  plongeante sur ma fleur ouverte. A mon plus grand plaisir, il se  délectait  goulûment du nectar de ma jouissance, dansant de son jeu de langue sur mes lèvres gonflées de plaisirs.

 Mais  soudain, ma vision devint plus vicieuse. Il me fixait d’un regard pervers en me fouillant de ses doigts et de sa langue m’emmenant jusque dans un plaisir extrême, n’oubliant aucun de mes interstices.  Plus je soutenais son regard, et plus ma jouissance grandissait au rythme des vrombissements du moteur, m’arrachant presque un orgasme libérateur quand :

-          Coquine tu te régale ?

-           Ferme-la !  laisse-moi jouir. 

Jamais au paravent, je n’avais parlé sur ce ton à Artur.  Mais que m’arrivait-il ?

 Imperturbable, celui-ci  continua à me caresser sans un mot, jusqu’à ce que je vienne inonder sa main de ma cyprine chaude.  Fier du résultat, il porta à sa bouche ses doigts pour la déguster.

 Enfin détendue, j’ouvris les yeux. Je me rassis correctement au font du siège en cuir de la voiture, et rabattue le pare soleil pour me regarder dans le miroir. Dans mon reflet, je me souriais a moi-même en me disant que je venais de tromper cérébrale ment mon compagnon ! Et j’en éprouvais aucune honte.

 Quelques semaines plus tard....

Encore des embouteillages décidément Marseille était vraiment en surpopulation. C’était 18 H passé, j’allais finir par  raté  mon embarcation. Voilas une heure que je roulais à 50 klm heures dans des bouchons interminables, pour enfin atteindre juste avant qu’ils ne ferment les grandes grilles, le port autonome. Entré  P2 voilà ou je me rendais, direction une semaine de détentes en Corse.

C’est vacances je les avais bien mérité, j’étais exténuer, un gros raz le bol de tout, je ne connaissais pas la Corse et je m’étais dis pourquoi pas cette destination. Mon ami Luc avait loué pour moi une petite maison ou il se rendait lui-même pour ses propres congés pendant les vacances d’été. C’étais à la campagne pas très loin du bort de mer exactement ce qu’il me fallait. J’avais juste un numéro de téléphone et l’adresse ou me rendre.

Apres avoir passé les deux contrôles de billets, j’étais enfin dans le bateau. Une fois installé dans ma cabine, je décidais de partir explorer le fameux Daniel Casanova dans le quel j’allais passer ma première nuit en direction de l’ile de beauté.

Au fond de moi j’étais toute existais, cela faisait longtemps que je n’étais plus partie toute seule a l’aventure. Je me rendis au pont 8 en direction du bar pour y prendre l’apéritif, le salon était bondé de couples, de personnes seules, et de quelques enfants qui jouer a leurs consoles. C’était les vacances de la toussaint, les gens aller surement voire leurs familles.

Arriver a mon tour au comptoir, je me commandai un verre de vin rouge Corse le Patrimonio, et un paquet de chips. Je pris mon plateau et partis chercher une table vide. Malheureusement pour moi tout avait l’air complet. J’aperçue au fond de la salle dans un coin prêt des grandes baies vitrées qui offraient une vue panoramique sur la baies marseillaise, un petit bout de table inoccupée, je mis installais.

J’ouvris mon paquet de ships et commençais a grignoté tout en admirant au loin notre Dame de la Garde étincelante de beauté sous ses éclairages nocturnes. Cette vue était tellement romantique, qu’un petit manque nostalgique m’envahissait l’esprit.

Commençant a m’ennuyée, je balayais du regard la salle du bar. Bouche bé, un trouble émotionnel m’envahissait l’esprit en quelques secondes. Je n’en croyais pas mes yeux, fasse a moi,  à quelques tables plus loin, était installé cet homme mystérieux qui m’avait faites vibrer le mois précédent, lors d’une soirée à laquelle nous nous étions croisés. Alors que je l’avais enfin oublié, l’inconnu était la, à nouveau devant mes yeux attablé avec deux autres hommes. Je ne pue me retenir de le déshabiller du regard, mes yeux caressaient ses épaules, la peau mate de son cou, ses cheveux brun. Buvant mon verre de vin, je me mise à fantasmer, partant dans un délire chimérique que moi seule visionné.

 

 Soudain nos regard se croisèrent, rougissante, je fis mine de ne pas le reconnaitre.  Lui-même ne semblait pas me remettre non plus, puisqu’il ne daigna me saluer. Vexer, je tournais la tête dans une autre direction.

Soudain, il se redressa. Saluant ses deux convives, il  se tourna vers moi,  me regarda droit dans les yeux avec la même intensité que la première fois au club. M’avait il enfin reconnut, je l’ignorais. Complètement déstabiliser, mon cœur se mit à battre de plus en plus vite.

 Aller t- il venir me voir !? Il n’en fut point.  Le grand brun traversa la salle, sans me saluer, ni m’adresser un sourire et disparut.

 Légèrement désorienté, je bus cul sec la fin de mon verre, pris mon sac à main, et partis du bar pour rejoindre ma cabine. Arriver devant ma porte la surprise qui m’attendait été de taille.

-          Bonsoir ma belle.

Prenant un air autoritaire, le regard glacial je lui répondis :

-          Je ne pense pas vous connaitre monsieur.

Je tapais mon  code rapidement sur la porte, celle-ci  s’ouvrit. J’entrais alors dans ma cabine en lui claquant la porte au nez.

Plutôt fière de mon répondant, je m’assise sur le lit pour reprendre mes émotions.

Comme toutes les femmes, j’aimais le jeu de la séduction, mais là,  j’avais rencontré un adversaire de taille.

Quelques minutes plus tard, quelqu’un  frappa à la porte.

J’ouvris la porte, c’était lui. Il entra s’en même que je l’invite, me pris par la taille, mes jambes se dérobèrent, et m’embrassa d’un baiser capiteux à m’en faire tourner la tête.

M’arrachant au passage la serviette de bain qui m’entourait le corps, je me retrouvais nue face à lui dans l’intimité de cette petite cabine. A mon tour, je l’aidais à hotter ses vêtements, et le poussais sur le lit.   Mon cœur battait la chamade j’avais envie de lui terriblement. J’avais  envie de le sentir au plus profond de mon être. Mais, je voulais surtout savourer cet instant magique, une évasion, une liberté vers une nouvelle vie. Sous mes mains, je découvris la douceur de sa peau mate, ses courbes musclés, une raideur viril et très généreuse. J’avais une violente envie de le dévoré, de l’entendre jouir,  tel une passion incontrôlable qui explosait dans ma tête.

Comme une évidence, ses caresses subtiles aux plus pernicieuses, trouvaient la cadence du  plaisir qui m’emportait aux portes de l’olympe. J’en voulais encore, encore plus. Alors je le chevauchais, m’empalant sur sa trique orgueilleuse, partant dans un vas et viens indomptable de plus en plus sauvage. Prise de frénésie, je me penchais en arrière, et attrapa la ceinture en cuir de son jeans. En une fraction de seconde je  lui passais au tour de son coup, tirant dessus a la limite de l’étranglement.

-          A présent tu  m’appartiens, et tu jouiras quand je te l’autoriserai. Lui dis-je sur un ton autoritaire.

 

a suivre

stefanie opalia

 

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